À toi la jeunesse : continue le combat !
Cet article est loin d’être celui des plus joyeux et festif, par rapport à ce que je souhaiterais vous écrire et vous partager.
Toutefois, je crois intimement, que j’ai ma part à prendre dans ce qui se dessine dans nos vies, non pas celle qui est propre à chacun, mais celle qui fait de nous un peuple fédéré, qui se bat pour vivre, vivre heureux.
Ma génération a beaucoup souffert, soit par le manque de sérieux qu’on a pu lui donner, soit par les décisions injustes, immorales et destructrices qu’on a voulu lui imposer, et qui aujourd’hui s’aggrave d’autant plus, pour les nouvelles générations.
Si vous ne me croyez pas, je crois pouvoir vous parler en connaissance de cause, j’ai 25 ans, et comme désormais une grande partie de ma génération, je suis dépressif.
Ainsi lit-on sur le site la-depression.org :
En France, on estime que près d’une personne sur cinq a souffert ou souffrira d’une dépression au cours de sa vie.
Cela ne s’arrête pas là, puisqu’on peut aussi y lire ceci :
« En 2021, 12,5 % des 18-85 ans auraient vécu un épisode dépressif, avec une prévalence deux fois plus importante chez les femmes que chez les hommes (Source : Santé Publique France). «
Je crois que nous nous devons de nous interroger sur notre santé, mais surtout, que nous devons avoir les moyens de pouvoir nous soigner, et la première des choses qui nous y aiderait, c’est la démission du Président de la République française, Monsieur Emmanuel Macron, ainsi que tout son gouvernement passé, ou à venir.
Les responsables, ils sont connus, ce sont ceux qui ont commencé par détruire nos écoles, puis notre parcours de soin, passant de nos hôpitaux, aux personnels y travaillant, à notre Sécurité sociale, et continuant dans sa lancée, pour s’attaquer à notre « marché de l’emploi », pour conclure avec notre régime des retraites, nous laissant peu d’espoir qu’un jour, nous y voyons la fin, si ce n’est la nôtre, sur notre poste de travail.
Alors oui, une fois qu’on a dû essuyer toutes ces violences, en plus du COVID, eh bien ce n’est pas terminé, puisqu’il nous reste encore des choses, autant nous les enlever, c’est dit le gouvernement, voilà pourquoi ceux qui nous ont détruit tout espoir de construire une vie stable, agréable, prospère et avec nos propres choix, nous insulte une fois de plus, sur notre choix de ne pas ou plus vouloir d’enfant.
Peut-être, aura-t-on prochainement une loi, nous obligeant à devoir nous reproduire, pour la survie de la patrie, ou du moins surtout de cette république déjà en miette, que nous avons balayé, avec ses fantômes qui nous hantent, les sarkozistes, hollandistes et désormais les macronistes, qui s’accrochent au pouvoir brisé.
Toutes ces souffrances dont notre jeunesse souffre, la mienne, tant que la vôtre, vous qui nous succédez, ne semble pas être suffisamment claire, pour qu’ils comprennent, avec leur grand cerveau, et leur costard si bien habillé à coup de millier d’euros, qu’ils sont incapables de comprendre, que si nous ne voulons plus, c’est que nous-mêmes déjà, nous ne nous voyons pas vivre dans un monde aussi sombre et déchargé d’espoir, par leur présence, leurs actes, mais aussi leurs incompatibilités entre les besoins de ce monde, incontournables, qu’est le changement climatique, mais aussi celui de l’être humain, qui sous prétexte qu’il vivrait plus longtemps, devrait alors travailler plus longtemps.
Hors, nous savons toutes et tous, que non, nos parents ne vivent pas plus longtemps, ni nos grands-parents grâce à leur travail, bien au contraire, cela les pousses à toujours aller au-delà des forces qu’il leur reste après autant d’années déjà abîmées par leur boulot, pour devoir continuer, pour peut-être faire partie des chanceux qui pourront profiter d’une miséreuse retraite.
Toutes ces choses nous étouffent, nous ne voulons pas voir celles et ceux qui nous ont mis au monde, mourir à leur boulot, ou bien à cause de leur boulot, car il est désormais facile de voir l’impressionnant nombre de maladies, viennent rattraper nos ouvrières et ouvriers, pour les emporter sous nos yeux désespérés, dans les étoiles qui peinent à briller dans ce monde si pollué.
Franchement, avec tout ça, qui nous pèse déjà à nos âges sur nos épaules, maintenant voilà la menace des guerres, rallumés par les inconscients, toujours au même poste, pour maintenir la braise allumée, alors que l’ONU dit qu’il faut absolument arrêter de jouer avec ce feu.
Malheureusement, nous n’avons pas au pouvoir ici, comme dans d’autres pays, des défenseurs de la paix, mais bien des pompiers pyromanes, qui n’hésite pas à jeter de l’huile sur le feu.
En voici un exemple bien visible, avec la nomination de Bayrou comme Premier Ministre, alors qu’on nous a promis de trouver quelqu’un qui serait faire l’unanimité, hors, il représente la macronie à plein nez, nous n’en voulons plus, le message n’est toujours pas passé.
Sans compter, qu’en plus de toutes ces choses, voici que nos vies sont en permanence exposées à la peur, tout ça par les réseaux sociaux, comme Tiktok, X, mais aussi les informations en continu et qui s’attaque non seulement à la jeunesse, mais qui de plus en plus créé beaucoup de tensions dans la manière dont sont traités les sujets, c’est-à-dire, sans neutralité.
Toutefois, la lumière n’est pas éteinte, bien au contraire, à nous, à vous, jeunesse d’hier, d’aujourd’hui et celles à venir, de tenir le flambeaux de nos éternelles lumières idéologiques, qui ont permis tant d’évolutions humanistes dans notre pays, de tenir bon, et de pas laisser une seule possibilité aux faucheuses, la possibilité de nous arracher un à un les droits qui constitue notre pays depuis des siècles, et qui ont porté ainsi nos valeurs communes sur notre drapeau, comme dans nos victoires historiques contre l’ennemi nazi, à savoir : Liberté, Égalité, Fraternité.
Devenez-en les porte-parole. Il ne reste plus que cela, notre résilience face à leurs projets qui met à feu et à sang le pays, la planète et le bien-être du vivant.
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